Raymonde Peyron nous plonge avec délice dans un passé nostalgique, celui de son enfance dans les années 1920 à Nice, au 37 rue Vernier.
On y sent la fin d'une certaine façon de vivre, dans la juxtaposition de la bourgeoisie désargentée de sa famille paternelle et le dynamisme efficace apporté par les origines terriennnes de sa mère.
Les photographies et cartes postales anciennes illustrent avec justesse ce passé révolu.
Opinión de internautas 37 rue Vernier (0 Comentarios)